de février à mai 2015 : le Contadour, Lure , la baume Roustan, les falaises de Lioux, le chemin des aiguiers , les bergeries du Contadour, Céüse.
le 11 février 2015 : le Contadour
marcheurs: Michel, Marie-Pierre et Caramel
Nous sommes déjà venus ici , il y a 3 jours. Mais le mistral soufflait en tempête et nous avons été obligés d'écourter notre balade . En moins d'une heure, une congère s'était formée sur la route . Heureusement nous avions été prévenus et notre voiture était garée un peu plus loin. Nous l'avons donc traversée sans peine, à pied!!! Nous voilà de retour, aujourd'hui le temps est magnifique, il nous rappelle que le printemps ne va pas tarder . Nous apprécions le soleil revenu, et même la chaleur. Au loin, le mont Ventoux.
le 18 mars 2015 : Lure ( sortie raquettes)
marcheurs: Michel, Marie-Pierre et Caramel
A Saint-Etienne les Orgues nous traversons le village pour prendre la route en direction de la station de ski de Lure . La petite station propose une école de ski (ESF) jusqu’à la 1ère étoile et un espace luge sécurisé. C’est une petite station familiale idéale pour les enfants et les débutants ! Avec des départs de sentiers de randonnée , c'est aussi le paradis des amateurs de balade en raquettes et de marche nordique ...
Nous laissons la voiture sur le parking de la station, notre itinéraire débute par le chemin qui monte à droite de la piste, en direction de la crête que l'on atteint assez rapidement. Puis nous quittons le chemin pour monter tout droit vers le sommet. Ce passage bien que "sportif" est assez court. Ce n’est qu’une formalité ( ou presque!....) d’atteindre ensuite le sommet .
A son sommet la Montagne de Lure offre un panorama à 360°: sur les Alpes au nord et à l’est, le Mont Ventoux à l’ouest, le Luberon et toute la Provence au sud .... jusqu’à la Méditerranée, mais par temps clair seulement . Le retour se fait par le même itinéraire et directement jusqu’à la station .
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5 avril 2015: la baume Roustan
Marcheurs: Michel, Marie-Pierre, Pierre , Benoit et Caramel + Julie, Meije et Lino ( 2ème sortie )
Une balade que nous avons fait 2 fois : une première fois avec les garçons au mois d'avril, ciel bleu et limpide ; puis une deuxième fois avec les enfants pendant les vacances au mois de mai, par un temps voilé avec un vent très chaud.
Nous quittons le sentier pour descendre dans le ravin du "Grand Marignon" très encaissé et boisé. Nous remarquons des traces d'anciennes charbonnières. Puis nous laissons ce chemin pour remonter entre les rochers et atteindre après une montée assez raide la Baume Roustan .
Nous pénétrons dans la baume, avec un sol sur deux niveaux distincts; elle a probablement été utilisée comme habitation dans un temps lointain.
Meije est très intéressée par les soi-disant "peintures rupestres" est fait un grand nombre de photos.
Puis , nous retournons dans le ravin du "Grand Marignon" que nous remontons un moment, après une demie heure de marche , nous arrivons au hameau de Vévouil. Nous retournons à la voiture en longeant vignes et vergers en fleurs.
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Lundi 6 avril 2015 : les falaises de Lioux
Marcheurs: Michel, Marie-Pierre, Pierre , Benoit et Caramel
Traverser la Tuilière et prendre à gauche la petite route qui monte à Croagnes. La falaise, haute de 100 m et longue de 1 km impose par une verticalité surprenante. Dépasser le village et après le château, au bout de la ligne droite, prendre en face le chemin de la chapelle Ste Madeleine. Se garer sous les chênes verts.
Suivre à droite de la chapelle, un chemin caillouteux qui monte . Après un quart d'heure de marche, prendre à droite... puis continuer à droite. Là, prendre le temps de se retourner pour avoir une vue panoramique sur Roussillon, la Colline de Pérréal, Villars, la plaine de Sylla jusqu'aux abords de St Saturnin. Sur la gauche, on peut admirer les splendides paysages des monts du Ventoux, le départ des gorges de La Nesque, les bâtiments de St Lambert, le hameau de Vevouil, les gorges du Petit et Grand Marignon...
Nous suivons le sentier ; mais attention au vent qui redouble de violence dès qu'on s'approche des bords de la falaise...
12 avril 2015 : Le chemin des aiguiers :
marcheurs : Michel, Marie-Pierre et Caramel + Benoit (aiguiers Grognards) + Julie, Meije et Lino
Nous avons fait la grande boucle en partant des aiguiers de Gayéoux , nous sommes descendus jusqu'à l'aiguier de Caulet , puis remontés sous la chaleur au point de départ.
Nous avons garé la voiture tout près des deux Aiguiers de Gayéoux de part et d'autre de la piste. Sur celui de gauche, le grand Aiguier de Gayéoux, l'alimentation en eaux de la citerne se fait par un décanteur (qui limite l'entrée de la terre et des feuilles dans l'aiguier), ainsi que par deux rigoles sinueuses. Un abreuvoir situé à droite de l'entrée permettait de faire boire le bétail, qui pouvait être attaché à la borie par plusieurs pierres formant anneau. En face se trouve le petit Aiguier de Gayeoux avec une rigole abandonnée car une faille se trouve en son milieu.
Puis nous sommes partis sur le GR en prenant franchement à droite; un peu plus loin, nous avons suivi le balisage vert qui prend un sentier à gauche qui monte en sous bois. Nous suivons ce qui devient une piste qui redescend pour aboutir aux deux magnifiques Aiguiers de Travignon. L'ensemble est composé de deux aiguiers ouverts pour l'abreuvement du bétail, et de deux autres aiguiers couverts qui protège une citerne rectangulaire qui alimentait le village. Nous redescendons par le sentier vers le village de Travignon, aujourd'hui en ruines et envahi par la végétation.
Le sentier rejoint une piste puis sur la droite un autre sentier qui monte en sous bois. Après le panneau «gîte» on arrive à l’Aiguier de Caulet, différent de tous ceux rencontrés précédemment, avec sa cuve enterrée, recouverte de dalles . L’une d’elle est percée d’un trou cylindrique, avec une feuillure, dont l’accès se fait par un couvercle de bois . De là, on y puisait l’eau pour alimenter à côté, une auge de pierre percée et permettant d’alimenter un abreuvoir, taillé dans la dalle. C'est là que Caramel s'est couchée, trouvant que cette auge remplie de feuilles sèches convenait à merveille pour une petite sieste! ... mais que nenni pas de sieste aujourd'hui.
Nous suivons toujours le fléchage vert et remontons la piste, jusqu’aux Aiguiers des Bessons qui se trouvent de part et d’autre.
Nous revenons sur la piste et quelques centaines de mètres plus loin, un cairn sur la gauche mène à l'aiguier double (l'Aiguier de Barralie). Un peu plus loin se trouve toujours sur la gauche une borie ferme en ruine. On continue sur la piste pour voir à droite la magnifique Borie de la Cassette.
Nous avons refait ce chemin avec les petits enfants, mais en 2 fois, pendant les vacances du mois de mai.
9 mai 2015 : les bergeries du Contadour
Marcheurs : Michel, Marie-Pierre, Julie , Meije , Lino, Benoit et Caramel
Là encore, la balade s'est faite a été réalisée en plusieurs fois : d'abord avec les enfants jusqu'à la bergerie des Fraches, nous sommes revenus quelques jours plus tard pour faire le tour complet par la bergerie du Jas des agneaux et le mont Larran.
Garer la voiture sur le parking, après le gite de Tinette.
On passe d'abord devant une première bergerie de pierres sèches, à peine reconnaissable. Puis, on atteint la bergerie restaurée du Jas des Terres de Roux, superbe bâtisse maintenant rénovée qui est un témoignage sur la vie des bergers et des troupeaux d'autrefois. Cette bergerie répond au terme de Jas. Le jas étant l'endroit où le troupeau se "jassait" c'est à dire se couchait. L’abri carré du berger jouxte la bergerie; dans une petite niche à l’intérieur du mur, il pouvait stocker de la nourriture. La toiture de lauzes est disposée de façon à rejeter les eaux de pluie dans une gouttière, puis dans une grande citerne .
La suite du parcours est plus difficile à trouver: plus de balisage et des chemins dans tous les sens. Non loin d’un carrefour, nous trouvons une bergerie tunnel toute en longueur . Un peu plus loin, nous voyons des arcs qui dépassent du sol. Plus nous avançons, plus nous comprenons, il s'agit de la bergerie en ruine des Fraches . ( fin de la 1ère sortie )
Avant d’arriver sur le mont Larran, nous passons à côté de la bergerie du jas des agneaux, en bien mauvais état. La citerne a été rebouchée mais elle contient encore de l’eau. Des tôles ondulées et des tuiles canal au sol ont dû servir de toiture. Ce fut le lieu de tournage du film de Giono, Cresus. «Vous n’êtes pas ici dans une Provence de tutu panpan, avait dit Giono à ses comédiens. Vous n’aurez pas de cyprès, pas de ciel vraiment bleu, pas de tambourinaires. Je vous donne l’aridité et le vent.»
Nous atteignons le "Pape", un haut cairn de pierres sèches, nous tentons de nommer toutes les montagnes que nous apercevons de tous côtés.
Nous descendons tranquillement ; quelques abris de berger, plus petits et moins hauts, jalonnent le parcours.
Nous décidons d'enjamber la clôture électrifiée et de traverser l’enclos, tout en restant à bonne distance des ânes, qui nous ignorent complètement.
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24 mai 2015 : Céüse
Marcheurs : Michel, Marie-Pierre, Pierre, Benoit et Caramel
ciel gris, température plutôt fraiche.... on se croirait à Toussaint.
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